
Comment faire respecter le droit supérieur de possession d’un enfant –
Parfois, une personne qui estime avoir le droit de posséder un enfant demandera l’aide des tribunaux pour récupérer son enfant auprès d’un ancien conjoint. Cela peut être dû à diverses raisons : les deux conjoints pensent peut-être qu’on leur a accordé la possession de l’enfant, ou l’un d’entre eux empêche illégalement l’enfant de voir le parent légitime.
Si une partie croit avoir le droit de posséder un enfant, elle peut déposer ce que l’on appelle une requête en habeas corpus. Le présent article traite de la procédure à suivre et de ce que le tribunal recherche.
Qu’est-ce qu’une ordonnance d’habeas corpus ?
L’habeas corpus est le latin de « Vous avez le corps ». Ainsi, lorsqu’une personne demande une ordonnance d’habeas corpus dans une affaire de possession d’un enfant, elle demande une ordonnance du tribunal (assignation) qui ordonne à un individu qui a la possession de l’enfant de le rendre ou de le libérer.
Pour obtenir une ordonnance d’habeas corpus en vertu d’une décision de justice, une partie doit apporter des preuves :
- qu’elle dispose de documents judiciaires prouvant qu’elle a obtenu une possession supérieure de l’enfant
- Ces commandes sont en cours
- La personne qui a actuellement l’enfant le garde illégalement
Pour obtenir une ordonnance d’habeas corpus en vertu de la loi, une partie doit prouver :
- qu’il n’y a pas de décision de justice pour la possession de l’enfant
- Ils sont le parent
- La personne qui a l’enfant n’est pas le parent de l’enfant
- La personne qui a l’enfant le garde illégalement
Une fois la requête déposée et acceptée, le tribunal peut délivrer une ordonnance d’habeas corpus pour ordonner au défendeur de se présenter devant le tribunal pour une audience. Si nécessaire, le tribunal peut signer un acte de saisie. Ce mandat consiste à demander à un shérif ou à un agent de police d’aller chercher l’enfant et de l’amener devant le tribunal.
Lors de l’audience qui suit, toutes les parties peuvent présenter des preuves pour leur défense. Le tribunal prendra alors la décision appropriée concernant la garde, ce qui pourrait signifier l’obligation de rendre l’enfant au parent légitime ou le refus de l’ordonnance.